Suite et fin de la descente entre les Rutines et la Rosière avec cette vue sur le Thuet et le Criou (à droite), avant de trouver aux Chosalets
un sentier qui nous ramènera aux Marlys.

Les chevaux se sont un peu déplacés et me permettent cette dernière photo.

D'autres vues, prises au plateau d'Agy, où l'on se balade du printemps à l'automne sur des chemins tranquilles, au soleil, avec vue sur les
montagnes environnantes, et qui accueille l'hiver 40 km de pistes de ski de fond et un terrain très sympa pour la pratique de la raquette
entre les sapins ou sur les mêmes chemins déguisés en longs rubans de coton blanc 

Au milieu, le Mont-Buet (3 096 m) et sur la droite, les Rochers des Fiz (maxi 2 804 m)

    à suivre...

Je m'y suis pris un peu tardivement : cette année, l'automne a profité de mon absence pour se colorer d'un marron beaucoup moins pimpant
que les teintes jaunes d'or qui plaisent tant à nos yeux.

Je vous propose 4 articles avec des photos prises à l'occasion de 2 balades de 2 heures - 2 heures 30, la première aux Rutines,
au-dessus de Samoëns, la seconde sur le plateau d'Agy, au-dessus de Saint-Sigismond et Les Carroz d'Arâches (Haute-Savoie pour les 2).

Pour aller aux Rutines (1 372 m d'altitude), Martine et moi partons du lieu-dit Les Marlys (1 180 m) au-dessus de Chantemerle.

Cheminement à travers prés et bois, sans difficultés, l'occasion d'apercevoir ces paysages sur fond de Rochers des Fiz, avec la pointe de Sales
comme étrave, et en arrière le massif du mont-Blanc.

Nous sommes arrivés à notre destination, pour un pique-nique "avec soleil dans la salle-à-manger" et vues sympas de l'entrée au dessert   

Sur la photo suivante, le Criou (2 220 m) émerge derrière l'arbre, et sur la dernière, on voit le Thuet (2 037 m), les Dents d'Oddaz et
les pâturages de la Golèse.

   à suivre...

   Bonjour à toutes et tous

   Vous l'avez remarqué, je ne suis pas très présent sur votre blog depuis... un petit moment.
   Un peu de manque de temps, un peu de forme moyenne, et c'est ainsi que les jours passent...
   Merci pour vos passages ici et merci encore de votre fidélité

   D'autre part, j'ai entendu récemment sur RTL + France bleu Pays-de-Savoie et même vu à la télévision, une info sur "les oeufs" des Gets,
   ces cabines que je vous ai montrées en photo il y a quelques mois.

   Les propriétaires de la brocante* en ont acheté 65 sur les 75 du lot, et les revendent entre 2 000 et 3 000 euros pièce, ce qui donne un prix
   de revente de 162 000 euros environ.

   Une dame a acheté la cabine N°20, celle dans laquelle elle a connu son mari il y a "des années". Commentaire d'une copine :
   une bonne raison pour ne surtout pas acheter celle-là

   *Brocante Bric et Broc à Taninges (74)

    Suite et fin de la présentation de ce sujet.

    Si le premier vol de ce genre a été effectué par un américain en 1961, c'est en 1978 à Mieussy (74) que des amis parachutistes
    se sont lancés pour la première fois sur une pente herbeuse avec une voile réduite utilisée en parachutisme :
    le parapente était né ! 

                       

                       

                        

                        

                       

                                                       

 

Le rafting - ou descente de rivière en raft, cette grosse embarcation gonflable où embarquent de 6 à une dizaine d'équipiers, selon la taille -
fait partie des sports d'eau vive, comme le canoë, le kayak, la nage en eau vive (encore appelée hydrospeed), le canyoning.

Il y a quelques jours, je me suis posté à la sortie des Gorges des Tines, un passage rocheux étroit sur le cours du Giffre, qui s'écoule
du Cirque du Fer-à-Cheval jusqu'à Marignier/Thyez en Haute-Savoie.

Ce resserrement assure des moments de plaisir pour les amateurs de sensations qui ont pris place dans ce gros radeau manoeuvré
à la pagaïe et dirigé par un barreur, en l'occurence le moniteur expérimenté qui gère la descente.

Il ne faut pas cacher que cette activité (comme toutes celles qui se déroulent sur l'eau, qui plus est en eau vive) présente certains risques.
Il y a des accidents, mais c'est le lot de toute activité (comme les déplacements en automobile, par exemple...) ; celle-ci est bien encadrée
et les "pépins" sont rares.

Je vous présente ici quelques-unes des photos prises aux Gorges des Tines, et plus en aval, au pont du Giffre à Samoëns, la fin
de la descente pour une partie des sociétés qui les organisent, d'autres continuant jusqu'à Verchaix, 4 km plus loin.

Les rafts sont ceux de plusieurs sociétés, d'où les couleurs différentes pour les embarcations, les gilets, les casques.

Un point commun : la bonne humeur des équipages, qui paraissent tous enchantés de leur découverte !

Une partie des personnes photographiées est (probablement) mineure ; les photos ne les montrant pas de manière isolée ou ostensible,
j'ai pris la liberté de les présenter ici.

Merci de me contacter pour enlever une ou plusieurs photos de cette présentation, ainsi que du diaporama associé à cet article. 

Je suis "à poste" depuis quelques minutes (je connaissais l'horaire de départ de Sixt-Fer-à-Cheval), seul le bruit du torrent berce cette attente ;
soudain, des échos de voix assez doux, des chuchotements, un léger bruit de glissement : un raft apparaît, puis d'autres un peu plus tard.

Un barreur choisit de bloquer son embarcation en travers du torrent, l'avant et l'arrière en appui sur la roche : la tactique pour faire
descendre les équipiers d'un jour qui passeront ainsi sous le raft !  Calé sur un rocher glissant, je pense "glagla..."

Une embarcation passe avec ses occupants, avant d'accoster - comme toutes les autres - pour une petite séance particulière...

 
Les équipiers ont débarqué et grimpé sur la rive, haute de 3-4 mètres à cet endroit ; sur les indications du moniteur, c'est une séquence "plongeons"
qui va se dérouler devant moi, me laissant plutôt surpris !

Les jeunes paraissent sauter "dans du coton" : c'est dû à la grande vitesse de l'eau, malgré un temps de pause compris entre 1/400ème
et 1/1500ème de seconde !

Une joyeuse bande de "flotteurs" passe alors en me faisant des signes : pas de doute, le rafting n'est pas pour eux une punition

Je quitte mon poste d'observation pour aller en aval, là où les rafts terminent (pour une partie) leur descente ; les embarcations
arriveront les unes après les autres et franchiront les quelques remous dans des gerbes de plaisir !

Vous pouvez retrouver ces photos et d'autres (32 au total)  dans ce diaporama.

Une petite balade du dimanche au lac de Roy, situé au-dessus du Praz-de-Lys (commune de Taninges, 74) à 1 660 m d'altitude.

En août, c'était déjà un peu sec, d'où cette dominante "paillasson" des pâturages fréquentés par les bovins.
L'hiver, c'est tout blanc, car le Praz-de-Lys - au pied du pic du Marcelly, 1 999 m - bénéficie toujours d'un super enneigement,
propice au ski alpin et au ski de fond, avec un domaine tracé très intéressant.

C'est également ici que nous sommes allés Chez Jean de la Pipe en janvier dernier

Pour le moment, c'est balade et pique-nique en compagnie de nombreux promeneurs et du soleil !

  vue en arrière sur le massif du Mont-Blanc pendant la grimpée vers le lac

   la coloration vert "fluo" est due à un développement d'algues (déjections des bovins ?)

   au milieu, la pointe de Chalune ( 2 116 m) et sur la droite, le Roc d'enfer ( 2 244 m)

    photo par Martine

    et comme il faut redescendre, ...

L'hiver, le paysage est un peu différent :

mais c'est une autre saison