Située au sud-est de Morzine (74), entre le lac des Mines d'or et le col de Coux, la ferme-auberge de Fréterolles accueille les convives
avec une gentillesse et une ambiance plus qu'agréables.

Après une grimpée de quelques centaines de mètres par un bon chemin - un quart d'heure environ - on arrive "dans la montagne"
sous le regard aimable de Mesdames les vaches, et dans un paysage superbe.

L'établissement de style savoyard accueille les convives à l'extérieur et à l'intérieur, pour des repas "typiques" avec des produits
confectionnés par les propriétaires : pâtés, jambons, saucissons, fromages - tommes de Savoie par exemple - sont des produits "maison".
Les beignets de pomme de terre ou le gratin dauphinois sont les accompagnements des viandes de la ferme : les porcs
- que vous verrez dans 2 jours - font les frais de l'opération...

À la fin des repas, Monsieur Boisier, le propriétaire, "endosse" un instrument avec lequel il charme les convives :
airs du folklore savoyard et d'autres plus connus

alors que son fils délaisse la cuisine pour apporter sa voix, pour le plus grand plaisir des auditeurs et des danseurs !

Après le repas, monter "à la croix" aide à la digestion

Si vous envisagez une sortie agréable et un bon repas dans un cadre original, vous savez où aller !
Monsieur et Madame Boisier, leur fils, leur belle-fille efficace en salle, vous accueilleront avec plaisir et vous donneront du plaisir

Dans le jardin de Martine, boulottant allègrement les feuilles des pommes-de-terre, des doryphores vivent leur vie...

Enfin, tant que je ne leur tombe pas "sur le poil" pour mettre fin à ce squat

  un jeune

  adulte

  vue de dessous

L'adulte mesure 10-12 mm de long, les jeunes un peu moins (7-8 mm).

Il y a plusieurs moyens pour les supprimer :

- à la main
- avec des pesticides
- en plantant diverses plantes en bout des rangs
- en arrosant les feuilles de pommes-de-terre avec du "jus de doryphore écrasé" et filtré...

Pour le moment, c'est "à l'ancienne" : sopalin et couic !

Bon appétit à vous !

Journée de surprise mardi 13 juillet : mon amie Martine avait organisé quelque chose dont nous parlions tous les 2, que nous envisagions pour... un jour.

Ce jour, ça a été ce mardi

Avec la participation d'amies, pour un événement dont je vous parlerai au mois d'août, Martine m'a offert un vol en hélicoptère !

Au départ de l'altiport de Megève (74), 30 minutes de survol d'une partie du massif du Mont-Blanc.
Me croirez-vous ? C'est somptueux, super bien, vraiment beau !

Un seul regret : le ciel était quand même couvert, et le Mont-Blanc était sous les nuages, alors qu'on peut le voir - au-dessus de Samoëns
ou lors de certaines randonnées - se détacher sur un beau fond de ciel bleu.

Ce regret est compensé par la beauté des paysages que l'on peut voir "de là-haut" et par les impressions que l'on retire d'un tel événement :
ce n'est pas tous les jours que l'on rejoint les oiseaux dans cette chance qu'ils ont d'évoluer dans les airs et de se déplacer au gré du vent.

Là, notre pilote nous décrivait la vue et menait son drôle d'engin avec dextérité (heureusement !).

Un très très beau cadeau de Martine, Michèle, Jacqueline, Mélanie et Manu, Gisèle et Alain :
mille mercis à eux pour ce grand moment de plaisir partagé avec Martine et 3 autres passagers.

Quelques photos (enfin, pas mal...) pour illustrer mes propos ; elles manquent un peu de contraste (brume de chaleur ? plexiglass du cockpit ?),
certaines penchent un peu et vous  en verrez qui se ressemblent...
Mais cela permet aux autres passagers, qui ont l'adresse du blog, de revivre eux aussi ce bon moment   :

  notre appareil, un écureuil AS 350 (Aérospatiale puis Eurocopter)
  capacité : 1 pilote et 5 passagers

  le tableau de bord : à peine plus complexe qu'une voiture, non ? Non ?

  nous venons de décoller : direction "la montagne" !

  devant, Sallanches

  1. le tracé de la fin de la ligne du TMB (Tramway du Mont-Blanc), un tram à crémaillère qui va de Saint-Gervais-Le Fayet au Nid d'aigle (altitude 2 372m)
  2. terminus après le tunnel   3. glacier du Bionnassay   4. l'Aiguille du Midi (3 842m)

  le Glacier des Bossons devant l'Aiguille du Midi

  concentration de notre pilote

  la gare d'arrivée du téléphérique + restaurant et terrasses, le piton central (antennes de télécommunication)
  en bas à droite sur la roche, le refuge des Cosmiques

  on fait le tour complet

  neige et crevasses sous l'Aiguille ; les 2 petits points noirs en bas à gauche sont 2 des 3 télécabines du téléphérique...

  la Mer de glace

  une peu penchée, la vallée de Chamonix en direction de Sallanches/Genève       et le bas du Glacier des Bossons

  l'Aiguille du Midi et le bas du Glacier des Bossons, le Mont-Blanc est dans les nuages

  sur le retour...

  arrivée en vue de l'altiport

  présentation au-dessus de la piste de l'aéroport        avant d'aller vers les installations de Mont Blanc Hélicoptères tout à droite

Après s'être posés sur la plate-forme surbaissée, c'est la fin de l'aventure... dommage !

Merci à notre pilote pour ses explications et son professionnalisme, et surtout merci à Martine pour cette idée "lumineuse"
et l'organisation de ce cadeau conjoint avec la joyeuse bande citée plus haut !

Ceci sera toujours un très bon souvenir, car "voir la France de là-haut" (du dessus) n'est pas chose courante

 Je ferai un diaporama un peu plus tard, qui vous montrera ces vues et d'autres en grand format. 

  l'Aiguille du Midi (Wikipédia)

14 juillet, la Fête nationale.

Peut-être êtes-vous allés au bal des pompiers hier soir, ou à l'un des feux d'artifice de votre région ?

Peut-être êtes-vous plus simplement restés chez vous, sans rien changer à vos habitudes, ou à préparer la prochaine révolution,
parce que la vie actuelle et à venir ne vous convient pas ?

Je vous propose ces couleurs qui rappellent celles de notre drapeau et le souvenir de celles et ceux qui l'ont honoré :

 1, 2, 4 et 9 en Haute-Normandie (Eure)
 3, 5, 6, 7 et 8 dans le Luberon (Vaucluse)

À Rouen, le pont Boieldieu est réouvert à la circulation piétonnière et cycliste uniquement.

"Sur le pont, on y passe, on y passe", à petite vitesse, le temps de regarder de plus près la structure de l'oeuvre d'Arne Quinze
dénommée Camille (Cf. l'article Intermezzo #33 : Rouen en allumettes... pour détails et chiffres).

Est-elle une Camille, elle aussi, avec sa robe (presque) orange assortie ?
Sans faire de voyeurisme, je n'ai pas manqué ce "relevé de robe par le sac" juste devant moi, qui ne montre pas vraiment des dessous,
et qui reste correct et sympa . Lecroum - voir liste des blogs amis - appréciera, je pense !

Mince compensation, Mesdames, une (rare) photo de Daniel Hèm prise par une touriste... pour vous faire un petit coucou !

Voilà, voilà...

    Bonne journée à toutes et à tous.